Je sais, Starlink Battle for Atlas ne boxe pas du tout dans la même catégorie que No Man’s Sky.
Plus sérieusement, No Man’s Sky a lancé un genre parmi les jeux de simulation (ou non) de vaisseaux spatiaux. Il a intégéré entre autres, la génération procédurale pour les planètes. On a également la possibilité, sans chargement ou presque, de passer du vide spatial à l’atmosphère puis au sol de la planète. Oui Messieurs Dames !
Beaucoup de jeux se sont appuyés dessus depuis sa sortie et pour notre plus grand plaisir.
Alors que vaut Starlink Battle for Atlas dans cet amas de nouveaux jeux intergalactiques ? Eh bien déjà, quelque chose de tout a fait original vient se « greffer », si je puis dire, au jeu.
En effet, le jeu est vendu avec un vaisseau en plastique, un jouet plus vulgairement, des armements et un pilote. Tout ceci va venir s’emboiter sur votre manette !
Une fois le tout greffé à votre manette, c’est un pilote, un vaisseau et des armes qui viennent s’ajouter virtuellement et en temps réel ou quasiment.
Le tout est plutôt de bonne qualité et il est possible de continuer à jouer avec une version dite digital de nos équipements pendant 7 jours sans rien rebrancher.
On appréciera au passage la version Switch accompagnée du vaisseau et du personnage propre à la licence Starfox (ou Starwing pour certains).
Mais à part ça, que vaut Starlink ? C’est bien là le problème. Starlink se trouve finalement vide, répétitif et même frustrant, alors qu’il avait tellement de potentiel. Pour ne donner qu’un exemple, il est impossible de le boucler à 100% sans acheter d’autres armes et vaisseau. C’est tout de même fort en chocolat ! Après les DLC, on passe à un nouveau format : le jeu totalement en kit !
Bref, je vous laisse vous en faire un avis vous-même au travers de ces quelques let’s play que j’ai pu faire…
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